par Audrey Le Meur | 29 Août, 2019 | A la une, Actualitēs, Innovations
Trop souvent, faute de médecin disponible le soir ou le dimanche, nous nous rendons aux urgences. Les services se retrouvent alors pris d’assaut. MyUrgence permet d’accéder en temps réels aux délais d’attente des urgences ainsi qu’aux différentes options de prise en charge alternatives sans rendez-vous (centres hospitaliers, maisons médicales de garde, maisons de santé, cabinets médicaux et pharmacies…). L’appli répertorie plus de 24 000 établissements médicaux en France métropolitaine, Corse et dans les DOM TOM.
Une autre valeur ajoutée apportée par cette application : elle est aussi participative. Chaque MyUser est contributeur de MyUrgence, adhérent au principe que la santé est un intérêt commun. Il partage en direct son temps d’attente et en fait profiter les autres utilisateurs. Des algorithmes complexes et performants actualisent les temps d’attentes en temps réels. En cas d’urgence vitale, les utilisateurs sont invités à joindre le Samu et peuvent composer le 15 directement depuis l’appli.
Application disponible gratuitement sur : Google Store et Apple play
https://www.myurgence.com/
par Audrey Le Meur | 29 Août, 2019 | A la une, Actualitēs, Investissements
La marque textile, qui exploite à ce jour un entrepôt à Aulnay-sous-Bois et totalise plus de 200 points de vente dans 15 pays y occupera 12 000 m² avec mezzanines en structure métallique ainsi que 750 m² de bureaux à partir de mars 2020. Quant au logisticien, il y exploitera courant juin une cellule de 12 000 m2 et s’installera plus tard dans les 2 dernières cellules de 6 000 m².
Ce nouveau site logistique affichera une hauteur de 12 m, ce qui pourra représenter pour les clients du logisticien une réduction mécanique de 20 % de leurs coûts de stockage à la palette. Il disposera en outre des dernières innovations en matière d’énergies renouvelables, réduction des coûts de maintenance et optimisation des consommations.
par Audrey Le Meur | 29 Août, 2019 | A la une, Actualitēs, Investissements
Le groupe familial Pinet, fabricant de charnières et systèmes de verrouillage créé à Paris en 1840 par Léon Pinet est cédé à Guillaume Bataille. Ancien directeur du groupe Poclain et arrière-petit-fils de Léon Pinet, ce dernier reprend le groupe de 20 M€ de revenus avec le soutien de Picardie Investissement (13 % du capital), de la famille Pinet (13 %) et des managers salariés (3 %) au terme d’un process international mené par Linkers. Dirigée par Richard Pinet depuis 1987, la PME reste ainsi entre les mains d’une branche de la famille.
Accélérer la croissance à l’étranger
Suite à des propositions de groupes internationaux du secteur dont des entreprises anglo-saxonnes c’est finalement la solution familiale qui l’a emportée. « La proposition de Guillaume Bataille était aussi solide que celles des autres industriels, le process était équilibré et nous avons fait parler le marché. Il est évident que la dimension familiale a pesé dans la balance. De plus le repreneur est issu de la branche familiale actionnaire du groupe Poclain, cela est un gage de stabilité et de succès pour la suite du groupe Pinet », indique Philippe Delecourt, associé de Linkers.
L’entreprise devrait continuer son développement organique notamment en Europe où elle distribue déjà ses produits grâce à des agents ou des distributeurs notamment en Espagne en Pologne ou encore en Suède. Elle a par ailleurs noué des partenariats avec des entreprises aux États-Unis et au Japon afin de proposer le meilleur rapport qualité/prix pour les 10 millions d’unités qu’elle produit chaque année à destination de marchés aussi divers que les véhicules industriels, le bâtiment, la tôlerie ou encore l’aéronautique. Le groupe envisage ainsi de passer à 30 M€ de chiffre d’affaires d’ici cinq en croissance organique et de tripler sa croissance externe.
par Audrey Le Meur | 29 Août, 2019 | A la une, Actualitēs, Innovations
Vous est-il déjà arrivé que vos valises n’arrivent pas à destination ? Rien de pire que d’arriver sur son lieu de vacances sans ses précieux bagages… Dès 2020, Air France assurera à l’aéroport de Paris-Charles de Gaulle la traçabilité des bagages grâce à des étiquettes équipées de puces RFID avec la coopération de Paris Aéroport. Air France fait partie des toutes premières compagnies aériennes mondiales à mettre en place l’usage de la technologie RFID. Pour la compagnie en 2020, il s’agit d’environ 8 millions de bagages par an qui seront ainsi étiquetés.
Cette technologie sera progressivement déployée sur les autres escales de la compagnie Air France mais également sur l’ensemble des terminaux de Paris-Charles de Gaulle, notamment le Terminal 1.
Les enjeux sont doubles : répondre au besoin d’information des clients sur leurs bagages et améliorer le taux d’identification et le suivi des bagages (avec des gains en termes de performance opérationnelle) et réduire les coûts d’exploitation associés.
Au cours des prochaines années, la croissance estimée du trafic aérien devrait conduire à un doublement du nombre de bagages transportés annuellement, qui s’établit actuellement à 4,6 milliards*.
Dans le cadre de sa résolution 753, l’IATA (International Air Transport Association – Association internationale du transport aérien) stipule notamment qu’un bagage devra être tracé sur l’ensemble de son parcours (à l’enregistrement, à l’embarquement, lors des transferts et à l’arrivée). Elle recommande également le déploiement mondial du suivi des bagages au moyen de puces d’identification par radiofréquence (RFID).
Les compagnies aériennes se sont ainsi engagées à réaliser la transition de leurs étiquettes de bagage vers des étiquettes munies de dispositifs RFID au cours des prochaines années.
*Source : SITA 2018 Bagage Report
par Audrey Le Meur | 18 Juil, 2019 | A la une, Actualitēs, Investissements, Sortir
Voilà un très beau projet que portent Mayline et Vincent, 23 ans, mais, déjà une solide expérience dans la restauration. Associé au propriétaire du château de Neuville, le jeune couple va donner vie au restaurant situé dans l’enceinte du domaine, baptisé M. Orbicole*, attenant à la maison de retraite. Décoration, tapisseries et menuiseries soignées, cuisine ouverte sur une grande salle aménagée avec goût, respectant l’âme et l’esthétisme du lieu, l’établissement et sa terrasse, installée dans la cour centrale, sont pré-ouverts depuis le 10 juillet au public. Pendant l’été, les promeneurs pourront s’y arrêter de 15h à 20h pour y déguster des tapas et profiter d’un rafraîchissement avant l’ouverture officielle du restaurant prévue le 17 août prochain. Un cadre de standing plein de charme à découvrir sans tarder, le sourire en prime.
Mayline a fait son apprentissage chez Potel et Chabot, traiteur haut de gamme, avant de travailler en brasserie, où elle souhaitait « retrouver en salle le contact avec la clientèle ». Vincent s’est formé chez Ferrandi, a intégré le Sofitel Défense puis a fait ses armes chez Alain Ducasse, en participant à l’ouverture du restaurant Ore de Versailles. « Ces périodes ont été très intenses. Nous faisions de très grosses journées, mais ce sont des expériences extrêmement formatrices », explique Vincent. Le couple décide alors de quitter la région pour faire une saison à Avoriaz, puis prolonge le périple en regagnant Biarritz, avant de décoller quatre mois et demi pour l’Asie : une expérience de vie intense qui les conduit en Malaisie, au Sri Lanka et au Cambodge.
« De retour en France, nous étions prêts à poser nos valises et à nous investir sur du long terme, avec l’envie de monter notre projet et d’avoir un jour notre propre établissement, confie Mayline. Par relations, en décembre 2018, nous avons fait la connaissance de M et Mme Liogier, les propriétaires, qui projetaient d’ouvrir un restaurant dans cette partie inoccupée du château. Ils nous ont fait confiance et dès février 2019, l’aventure a réellement commencé. » Les travaux démarrent, le projet se dessine et le concept prend forme. Le couple imagine la future carte qui sera concoctée par Vincent, aux commandes en cuisine. Au menu, toujours une base française, des produits frais, locaux et de saison, mariée à une touche exotique ou d’ailleurs. Le choix à la carte sera volontairement limité à trois plats (une viande, un poisson, une assiette exclusivement à base de légumes) et une formule du jour, à un tarif très accessible (19 euros entrée plat ou plat dessert). Pour les vins, là encore, la carte mêlera quelques classiques français à des vins étrangers dénichés aux quatre coins du monde. « Nous changerons régulièrement nos propositions, en restant toujours à l’écoute des envies formulées. »
Pour compléter leur offre, Mayline et Vincent proposent depuis le 10 juillet, de 15h à 20h, des formules tapas, mais aussi des thés glacés maison, des crêpes, muffins et autres gourmandises à déguster à toute heure de la journée. Pour faire vivre pleinement le lieu, le couple aimerait mettre en place des animations musicales (dans l’esprit jazzy) ou théâtrales. « Nous démarrons doucement en espérant que les Neuvillois investiront nombreux notre table. Nous visons aussi une clientèle d’affaires qui pourra profiter des espaces privatisables et d’un service sur-mesure pour ses réunions et séminaires. Il y a de très belles entreprises à Neuville, auxquelles nous pouvons offrir des prestations de qualité. »

Le restaurant sera ouvert à partir du 17 août ouvert le midi, du mercredi au dimanche (à terme le mardi midi, ainsi que le vendredi et le samedi soir). Tapas, gourmandises et boissons servies en journée.
4 rue Joseph Cornudet – Neuville – Tél. : 07 60 73 66 01 – www.monsieurorbicole.com
*Qui vit, qui croît sur tous les points du globe