Sisley va investir 40 millions d’euros sur son site cergypontain

Sisley va investir 40 millions d’euros sur son site cergypontain

Le groupe familial de fabrication de produits cosmétiques et de parfums Sisley va investir 40 millions d’euros dans les deux prochaines années afin d’agrandir et de moderniser son établissement de la zone d’activité économique des Béthunes à Saint-Ouen-l’Aumône et faire face à sa forte croissance. Fleuron de la cosmétique de luxe, le groupe français doublera ses capacités de recherche et de logistique sur son site en y installant un véritable campus d’ici à 2024.

« Le fort développement du groupe nécessite de construire une extension de ce site pour pouvoir accueillir plus de collaborateurs, mais aussi travailler dans de meilleures conditions », explique Philippe Valentin, directeur des opérations du groupe Sisley. Aujourd’hui, fort de 400 personnes, l’effectif devrait fortement grossir et atteindre 750 salariés d’ici à 2033.

Au deuxième semestre 2022, Sisley lancera la construction de locaux tertiaires et de laboratoires de recherche d’une surface totale de 9 200 m². Des services variés, des espaces d’activités et de restauration ont été prévus pour les salariés de la marque. Avec ces nouveaux bâtiments, c’est tout un campus qui se déploie sur le territoire, avec au total 17 000 m² regroupant à terme 750 salariés et 100 prestataires autour de l’innovation cosmétique.

En vue du lancement prochain des travaux d’extension des locaux de Sisley, Jean-Paul Jeandon, président de et Philippe Court, préfet du Val-d’Oise, se sont rendus sur le site des Béthunes, à Saint-Ouen l’Aumône en compagnie d’élus et d’acteurs économiques locaux, le 17 mai dernier. Ce rendez-vous officiel a été l’occasion de visiter les laboratoires et espaces logistiques de l’entreprise et d’échanger avec sa direction, notamment son président Philippe d’Ornano, sur ce projet d’aménagement.

C’est en 2010 que la marque de cosmétique française Sisley a implanté l’ensemble de ses services administratifs, ses laboratoires de R&D et son centre de logistique à Cergy-Pontoise, au sein d’un bâtiment neuf de 35 000 m² sur un terrain de 13 hectares, à Saint-Ouen-l’Aumône.

Depuis son arrivée à Cergy-Pontoise, Sisley n’a cessé de s’impliquer au bénéfice du territoire et de son développement durable. La marque recrute localement, lors du Forum intercommunal de l’emploi ou du Forum Recrut’Alternance. Plusieurs fois finaliste du « Challenge mobilité », Sisley s’investit pour la mobilité de ses salariés, en les incitant à se déplacer autrement. Enfin, le groupe multiplie les initiatives en faveur de la transition énergétique, avec des bâtiments HQE, des procédés de fabrication peu énergivores, l’utilisation de produits naturels ou encore l’installation de panneaux photovoltaïques et de ruches…

On se retrouve à midi chez Félicie !

On se retrouve à midi chez Félicie !

Imaginez une maîtresse de maison qui vous accueille avec une immense sourire et les bras grands ouverts. Imaginez qu’elle élabore toute seule dans son impeccable cuisine et sous vos yeux, des plats italiens généreux , à base de produits frais et savoureux à souhait. Imaginez une petite salle simple et accueillante avec ses tables de bistrot et sa grande ardoise, où se retrouvent habitués et nouveaux venus, reçus ici en amis et gentiment servis par le fils de la maison. Non, vous n’êtes pas chez votre maman, mais chez Félicie. Et c’est tout comme !

Félicie, alias Fatima, vous concocte avec amour, des plats goûtus qui ne se prennent pas au sérieux : laisser vous tenter par le filet de boeuf aux truffes, les penne à la norma, le filet de bar acqua pazza ou le risotto aux st Jacques à la crème de pistache, ou encore les légumes du soleil grillés à l’huile d’olive . Le tiramisu est à tomber et s’il vous prend l’envie être raisonnable, le carpaccio d’ananas et son sorbet citron vous comblera. Les vins sont fruités , légers et un déjeuner chez Félicie c’est déjà un petit voyage.

Les prix sont tout à fait raisonnables, et Félicie-Fatima propose également de la vente à emporter. Allez y vite, vous y serez chouchouté comme à la maison…

Chez Félicie – 2 rue de l’hôtel de ville à Pontoise. 09. 53.14. 10. 84.

Dassault Argenteuil : Dialogue et réflexion autour de l’avenir du site

Dassault Argenteuil : Dialogue et réflexion autour de l’avenir du site

La Ville d’Argenteuil et le Groupe Industriel Marcel-Dassault ont signé une convention de partenariat autour de l’avenir du site historique de production argenteuillais.

À l’occasion du Conseil municipal du 5 juillet 2002, Georges Mothron, Maire d’Argenteuil, Vice-président de Boucle Nord de Seine, a confirmé la signature d’une convention de partenariat avec Olivier Costa de Beauregard, Directeur général de la holding Groupe Industriel Marcel-Dassault (GIMD), relative au devenir du site historique de production argenteuillais de l’avionneur.

« GIMD et la Ville prennent l’engagement, au travers de cette convention, de maintenir un dialogue soutenu de qualité, marqué par la transparence. Il permettra à chacune des parties de travailler sereinement à l’établissement du futur site et à la construction d’une convergence des intérêts, dans la complémentarité des connaissances et des capacités respectives de chacun » indiquent les intéressés. Ce dialogue, établi sur la durée, pourra porter sur de nombreuses thématiques : orientations stratégiques globales, choix des éléments constitutifs du futur site, état environnemental, calendriers opérationnels, communication sur le projet et ses étapes… ».

Le déménagement du site d’Argenteuil vers Cergy-Pontoise, programmé fin 2023, et la libération de 11 hectares au cœur du quartier du Val-Notre-Dame en pleine requalification constituent une réalité que les deux partenaires souhaitent transformer en opportunité.

La durée qui nous sépare de la mutation effective du site permettra de préciser le contenu d’une programmation d’aménagement répondant à ces principes directeurs. Il est néanmoins d’ores et déjà possible de présenter les grands éléments potentiellement constitutifs de ce site sans que ces indications ne soient restrictives : la volonté du développement d’un site emblématique à l’échelle métropolitaine et régionale, la recherche de l’Innovation sur une ou des thématiques ciblées pour faire de ce site un marqueur structurant de l’ouest parisien, le développement d’activités économiques et/ou industrielles (…) seront des éléments essentiels de cette programmation.

De plus, la création d’un espace dédié à l’entreprenariat, l’attention portée à l’émergence d’acteurs de formation initiale et continue ou l’implantation d’équipements et/ou services publics constituent d’autres pistes de travail.

Enfin, attachés et engagés face aux enjeux écologiques, les deux partenaires – qui se rencontreront régulièrement à l’occasion du comité stratégique et du groupe de travail – mèneront à bien leur réflexion et le développement des 11 hectares avec le souci de voir les projets futurs s’inscrire dans l’objectif de La « Ville Parc » souhaitée dans le réaménagement de la Porte Saint-Germain et de la reconquête des berges de Seine.

Carole Gratzmuller, dirigeante valdoisienne, remporte le rallye des Princesses

Carole Gratzmuller, dirigeante valdoisienne, remporte le rallye des Princesses

La 21e édition du Rallye des Princesses Richard Mille s’est déroulée du 14 au 19 mai dernier et a relié cette année la Place Vendôme (Paris) à La Baule, au cours d’un parcours de 1500 km, passant dans des lieux inoubliables, comme le Touquet, Deauville, Dinard, et la Baule. A l’arrivée, l’équipage #41, représenté par Carole Gratzmuller (dirigeante de la société Etna Industrie à Argenteuil) & Elisa Laurent a dominé le classement du début à la fin à bord d’une Corvette C2. Le duo remporte la première place (sur 80 équipages) pour la seconde fois, après avoir été déjà victorieux en 2019.

Il s’agit du seul rallye féminin se déroulant en France. Une épreuve de régularité dédiée aux passionnées d’automobile de collection dont fait partie Carole Gratzmuller. La dirigeante, qui tient cette passion de son père, “fou de voitures anciennes”, compte à son actif 14 participations dont pas moins de six victoires ! “J’ai essayé une première fois, lors des toutes premières éditions, et j’y ai pris goût ! C’est un circuit où l’on se sent bien, très convivial, où l’on apprécie de se revoir. Après trois années sans concourir, nous avions envie de reprendre la route avec Elisa, ma coéquipière, que j’ai connue sur le rallye. Tenantes du titre, nous avions envie de réitérer l’exploit. La première place s’est jouée à peu de choses !”

Un rallye de régularité… pas de vitesse

Le principe de la régularité est simple. Comme son nom l’indique, il faut être le plus régulier possible par rapport à une moyenne définie par les ouvreurs. Aussi, le rôle de la copilote est crucial. Armée de ses chronomètres et tables de régularité, elle doit guider sa pilote dans le temps mais aussi l’espace. C’est un véritable travail d’équipe qui s’avère plus complexe qu’une course contre la montre : il s’agit ici de maitriser le temps, de l’apprivoiser pour obtenir le meilleur classement possible.

Le Rallye des Princesses Richard Mille est également une invitation au voyage et à la découverte. Sur la route, les encouragements sont nombreux : beaucoup de fans club se donnent rendez-vous pour admirer les véhicules de collection qui sillonnent les routes. A chaque édition, une nouvelle destination. Qu’il s’agisse de patrimoine avec des passages dans des lieux d’exception parfois peu connus du grand public ou encore de gastronomie avec des menus imaginés par des chefs et cheffes de renommée….

https://www.peterauto.fr/2022/rallye-des-princesses-richard-mille-2022-etape-2-made-in-normandy/

 

 

Omnicité : 10 ans au service de l’entrepreneuriat solidaire

Omnicité : 10 ans au service de l’entrepreneuriat solidaire

Mardi soir, Omnicité, coopérative au service des indépendants, fêtait ses 10 ans à la Turbine, où l’entreprise dispose de bureaux et d’espaces de travail. La structure s’adresse aux indépendants et créateurs qui souhaitent rejoindre une PME collaborative et participative, pour y développer leur projet entrepreneurial. Une partie de l’équipe et la direction, incarnée par Olivier Jouan, était présente aux côtés de Gilles Le Cam, vice-président de la Communauté d’agglomération de Cergy-Pontoise, pour expliquer ce qu’est l’entreprenariat salarié, quels sont ses avantages, partager leur expérience personnelle et mettre en avant les valeurs de la société. Omnicité rassemble à ce jour plus de 320 créateurs, essentiellement basés sur l’Ile-de-France.

La scop existe depuis 2006 (pour l’antenne parisienne), et réunit des entrepreneurs de tous horizons et de nombreux domaines, rattachés à plusieurs antennes (Paris ; Aulnay-sous-Bois; Roissy ; Cergy; Melun ; Fontenay-aux-Roses). Son objectif : accompagner les porteurs de projets pour leur permettre de tester et lancer leur activité, et au-delà, s’ils souhaitent rester. L’objectif est de leur proposer une structure, un accompagnement et une communauté qui partage des valeurs communes fortes (notamment celle de l’économie sociale et solidaire). Au-delà du statut salarié qui profite à ses sociétaires, Omnicité dispose d’un pôle de gestion et d’un organisme de formation labellisé Qualiopi : un véritable soutien, des formations, des opportunités, des rencontres et des collaborations d’une grande richesse, et même des amitiés. Les collaborateurs peuvent accéder à des bureaux partagés où ils peuvent venir travaille et recevoir des clients.

Le statut d’entrepreneur salarié, qu’est ce que c’est ?

Chaque entrepreneur crée et développe sa propre activité économique au sein d’une entreprise partagée entre tous, dont il devient salarié. L’entrepreneur-salarié dirige entièrement son activité et ce en toute autonomie. A côté, il bénéficie des conseils, orientations et challenges proposés par son conseiller. Et pour tout ce qui est administratif, comptable et juridique, ils peuvent compter sur l’efficacité des services partagés.

Ce statut hybride d’entrepreneur-salarié dans une Coopérative d’Activités et d’Emploi (CAE) est reconnu légalement (Loi Hamon 2014) et permet de bénéficier d’un CDI de droit commun qui ouvre des droits. Être salarié de droit privé sur un régime classique permet de rassurer les banques et ses interlocuteurs.

Concrètement, chaque entrepreneur-salarié pilote sa gestion financière avec le soutien de l’équipe Omnicité et se verse un salaire dont le montant est proportionnel au chiffre d’affaires réalisé. La contribution de la coopérative de 10% sur la marge brute couvre la comptabilité, le support commercial, la gestion administrative administrative (URSSAF, Direccte, …). Cette contribution est plafonnée à 11 k€ annuel.

De nombreuses rencontres sont régulièrement organisées pour présenter le concept. Prochains RDV les 21, 29 juin et 7 juillet (visio)

Pour découvrir en images Omnicité : https://www.youtube.com/watch?v=-OkeDZBmKTo

Pour plus d’infos : https://omnicite.fr/