Weshotel Taverny dévoile ses infrastructures

Weshotel Taverny dévoile ses infrastructures

L’hôtel Weshotel Taverny, développé par le Groupe français West Finances, a été inauguré le 17 juin dernier à l’invitation de son président, Arnaud Moulet qui a donné lieu à une visite puis une présentation de ce nouvel établissement hôtelier quatre-étoiles. Ouvert le 20 mai dernier, il regroupe 92 chambres, un espace restaurant et un lounge bar, une piscine couverte et des espaces bien-être, avec 128 places de parking privées et gratuites.

Bénéficiant d’une surface minimale de 25 m², insonorisées et climatisées, les chambres proposent des lits King size ou deux lits indépendants avec matelas de qualité, ainsi qu’un espace bureau avec accès wi-fi gratuit, des salle de bains indépendantes avec douche et quelques suites familiales.

Parallèlement, l’hôtel dispose de 15 salles de réunions modulables avec une importante capacité d’accueil pour des séminaires, des réceptions et cocktails, des opérations de team building et incentives ou des opérations événementielles et des salons, ainsi que pour des réceptions de mariage et des événements privés.

Florence Portelli, Maire de Taverny, Vice présidente du Conseil régional Île-de-France, Vice-présidente de la Communauté d’agglomération Val Parisis, participait à cet événement. Elle a salué cet investissement hôtelier de qualité qui vient s’inscrire dans la dynamique du parc d’activité et du quartier des Ecouardes, en développement rapide, tout en apportant des services essentiels pour les sociétés qui ont fait le choix d’une implantation sur ce site.

Dans une ambiance musicale jazzy grâce au groupe Joe Sings, la manifestation a permis de préciser que l’architecture du Westhotel Taverny a été étudiée attentivement afin d’intégrer le bâtiment dans son environnement, à proximité du bois des Ecouardes, en bénéficiant ainsi d’un bardage bois et de toitures végétalisées et équipées de panneaux photovoltaïques. (infos CEEVO)

www.westotel-taverny.com

Législatives : les ETI prennent la parole

Législatives : les ETI prennent la parole

Dans la perspective des élections législatives, les 6200 ETI françaises, qui représentent près de 3,5 millions d’emplois et réalisent plus de 1000 milliards d’euros de chiffre d’affaires, prennent la parole dans le débat public, par la voix du METI, qui fédère la communauté des ETI à l’échelle nationale et à travers le réseau des Clubs ETI régionaux. Elles rappellent qu’aucun projet politique n’est viable s’il n’est adossé à la vitalité des entreprises. A travers un manifeste, elles appellent les candidats à ne pas entraver leur développement avec des propositions d’un autre temps, tant de fois éprouvées, tant de fois échouées, qui nuiraient à leurs projets d’investissements créateurs d’emplois, ou encore avec des mesures qui conduiraient au repli et condamneraient l’exportation de l’excellence des savoir-faire français sur le continent européen et dans le monde entier. Dans le Val d’Oise, ils sont 92 candidats dans 10 circonscriptions à se présenter aux élections législatives des 30 juin et 7 juillet prochains dans le Val-d’Oise. Il est de notre responsabilité à chacun de parvenir à décrypter les intentions des futurs députés afin de faire le meilleur choix possible. 

Extrait du manifeste des ETI : « Sans l’économie, aucun projet politique n’est viable. Les ETI ne font pas de politique. Ce n’est pas leur vocation. Mais parce qu’elles sont l’un des socles de la société, elles ont le devoir, lors des grands rendez-vous démocratiques, de prendre la parole pour nourrir le débat public.

En commençant par rappeler un principe intangible : il ne peut y avoir de projet politique qui ne tienne compte de la réalité économique, dont les entreprises et leurs salariés, au cœur de la création de richesse, sont le moteur. Dans la campagne qui s’ouvre, dans une France fragmentée, les 6200 ETI françaises, symboles du « travailler et du produire en France », veulent porter l’espoir de la prospérité.

Les ETI, les « grandes entreprises du coin »

Avec 125 000 sites répartis dans toute la France, les ETI n’ont jamais abandonné les villes moyennes et les zones rurales. De la Vallée de l’Arve aux Herbiers vendéens, du Grésivaudan aux vallons des Vosges et du Jura, les ETI sont l’ossature industrielle de nos régions.

Beaucoup de leurs sièges sociaux sont implantés dans les sous-préfectures, elles sont les animatrices du tissu économique et de l’emploi local, garantes de la cohésion sociale, pivots des filières industrielles, elles entraînent des milliers de TPE, de PME fournisseurs et sous-traitants.

Quand une ETI s’en va, c’est un territoire qui s’efface et s’effondre. Quand une ETI réussit, c’est tout l’environnement local qui se redynamise. Avec le développement des ETI, c’est la vie locale qui s’enrichit en termes d’emplois, de services et d’équipements publics, de soutiens aux associations et à la vie culturelle.

Au niveau du pays, la somme de ces réussites pèse près d’un tiers de la richesse nationale (1000 milliards de chiffre d’affaires) et plus encore en matière d’exportation (34%) compte tenu de leur dominante industrielle.

Et pourtant les ETI françaises ne sont pas assez nombreuses : elles sont 17 000 en Allemagne, 8 500 en Italie…

Le manque d’ETI en France est une anomalie majeure. C’est le résultat de 40 ans de mauvais choix économiques : blocage des transmissions d’entreprises pendant 20 ans, fiscalité sur l’activité et les salaires la plus lourde de l’OCDE, des normes et des contrôles disproportionnés.

Dans le cadre du marché européen, tout miser sur le « travailler et le produire en France »

Depuis dix ans, ces erreurs ont commencé à être corrigées. La réforme de la fiscalité du capital, les lois sur le dialogue social et le travail, les premières baisses de la fiscalité de production : ces premières réformes ont produit des résultats. En témoignent le nombre d’ETI, passé de 4600 à 6 200 aujourd’hui, avec des conséquences en cascade sur l’investissement (20 Md€ par an), sur l’emploi et l’apprentissage (465 000 postes créés sur la période), et sur les recettes fiscales. Aujourd’hui, les usines sont plus nombreuses à ouvrir qu’à fermer.

La voie du « travailler et produire en France » est gagnante, et il ne faut pas s’en détourner.

D’autant que la France reste très en retard sur ses voisins en matière de compétitivité. Rien qu’en matière d’impôts de production, 80 milliards d’euros par an nous séparent toujours de la moyenne européenne.

D’autant que les crises à répétition (gilets jaunes, COVID, inflation, énergie) ont singulièrement aggravé ces faiblesses françaises. Les ETI, malgré leur résilience, en sortent affaiblies. Elles ne pourraient supporter ni le retour aux mauvaises recettes qui ont plombé la France, ni les replis qui les priveraient de leurs marchés naturels en Europe.

Quatre priorités s’imposent pour réussir le rattrapage français dont les ETI ont besoin :

  • Poursuivre la baisse des impôts de production pour soutenir l’innovation et l’investissement et leurs exportations.
  • Mettre en place une politique publique de la transmission d’entreprise pour garantir la pérennité de nos usines et de nos emplois.
  • Engager la baisse du coût du travail qualifié pour une France des bons salaires.
  • Instaurer un bouclier normatif pour enrayer la déferlante règlementaire.

A côté de nous, d’autres pays ont réussi des redressements spectaculaires. La France n’est pas condamnée et ses atouts sont innombrables. Le redressement économique est le plus court chemin vers la prospérité et le mieux vivre en France. C’est la condition pour être au rendez- vous des transformations sociales et environnementales. Les ETI y sont prêtes. »

Inauguration d’ATHLETICA, centre de hautes performances sportives du Val d’Oise

Inauguration d’ATHLETICA, centre de hautes performances sportives du Val d’Oise

Marie-Christine Cavecchi, Présidente du Département du Val d’Oise, et Xavier Haquin, Conseiller départemental délégué à l’Olympisme et au Paralympisme et Président d’Athletica, ont inauguré Athletica, le centre de hautes performances sportives du Val d’Oise à Eaubonne. « Plus qu’un pôle sportif d’élite, Athletica est un symbole éclatant de notre engagement sans failles en faveur de l’accès au sport pour tous les Valdoisiens et de la vitalité sportive de notre territoire. Avec un nouveau centre de régénération sportive, un pôle santé, des salles de formation, un espace de restauration et d’hébergement, ce renforcement des équipements s’inscrit bien sûr dans la perspective des Jeux de Paris 2024, mais pas seulement. Grâce à Athletica, nous souhaitons permettre aux futures générations de s’éveiller aux valeurs d’excellence, d’engagement, d’inclusion, de respect et de partage qui animent le centre. 27 millions d’euros ont été investis pour l’excellence sportive et pour l’héritage des Jeux 2024 » a souligné la Présidente du Département du Val d’Oise.

Centre de référence du sport valdoisien et propriété du Département du Val d’Oise, Athletica incarne l’excellence sportive en Val d’Oise depuis 30 ans. Cet équipement départemental a récemment été labellisé « Grand INSEP » et s’est engagé dans une démarche active de développement auprès des fédérations sportives et des comités départementaux. Sur 7 hectares, ce site est composé d’un stade couvert Stéphane Diagana, d’un complexe sportif Luc Abalo, d’un terrain extérieur (football et rugby), d’une piste d’athlétisme (saut à la perche), d’une aire de lancer et d’un bâtiment administratif, de restauration, de formation et d’hébergement.

En 2022, le Département a entrepris des travaux majeurs pour reconstruire et moderniser les équipements d’Athletica dans la perspective des Jeux 2024 et l’héritage pour tous les Valdoisiens. Il accueille toute l’année les pôles de basket, handball et d’athlétisme et plus de 250 000 utilisateurs. Ce chantier a permis de reconstruire le bâtiment administratif. Il accueille dorénavant de nouvelles salles de formation, un espace médico-sportif (espace kinésithérapeutes, cryothérapie, bain chaud/froid et hydrojet), 200 couchages et un nouvel espace de restauration avec une terrasse extérieure de plus de 200m² surplombant le site. Un parking de 120 places a aussi été créé.

Sur les espaces extérieurs, une aire de lancer de marteau et de poids a été réaménagée et la piste d’athlétisme a été rénovée. Enfin, l’éclairage du terrain synthétique a été modernisé pour améliorer son impact environnemental (LED). Enfin, afin d’améliorer les conditions d’accueil des sportifs de très haut niveau, le Département a mené une opération d’amélioration de la performance énergétique sur le complexe Luc Abalo. L’isolation de la toiture existante a été renforcée, les menuiseries remplacées et le traitement de l’air et du chauffage modernisé.

Le complexe dispose également d’un nouveau parquet dans la halle nord. Au total, le Département a investi 27 millions d’euros dans la reconstruction et modernisation d’Athletica, avec le soutien de l’Etat, de la Région Ile-de-France, du Fonds de solidarité et d’investissement interdépartemental et de l’Agence nationale du sport. Jeux 2024 : Athletica prêt à accueillir de la Team USA Athletica sera le centre d’entraînement de la Team USA à l’occasion des Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024. La délégation sera composée de 800 à 1 200 personnes entre juillet et septembre. Coachs, physiothérapeutes, experts médicaux, nutritionnistes, chefs cuisiniers et logisticiens seront aux petits soins pour placer les athlètes américains dans les meilleures conditions.

Quant aux athlètes, ils seront hébergés au Village Olympique et Paralympique à Saint-Denis (à 20 minutes d’Athletica). « Le Val d’Oise a été reconnu par la première délégation Olympique et Paralympique au monde comme le meilleur site d’entraînement pour Paris 2024 et je me réjouis de l’accueillir ici à l’Athletica. Il s’agit d’une opportunité pour promouvoir la qualité de nos équipements, notre savoir-faire local dans l’accueil de sportifs de très haut niveau et véritablement un vecteur pour la promotion de notre territoire » a précisé Marie-Christine Cavecchi, Présidente du Département du Val d’Oise.

Job dating alternance à l’ESMC Business School le 9 juillet 2024

Job dating alternance à l’ESMC Business School le 9 juillet 2024

Vous cherchez à renforcer vos équipes en embauchant un étudiant en alternance motivé et encadré* ? Participez au job dating organisé par l’ESMC Business School le 9 juillet !   Installée au sein de l’immeuble le César à Osny sur plus de 500 m2, l’ESMC Business School (Ecole Supérieure Management et Comptabilité), dirigée par Khaled et Hedia Arous, est un jeune établissement d’enseignement supérieur qui prépare aux métiers de l’apprentissage et de la professionnalisation, de Bac+2 à Bac+5 depuis 2022.  Il propose des formations de qualité reconnues par l’état (2 jours école – 3 jours entreprise), en s’appuyant sur l’expertise de ses fondateurs dans le domaine de la formation depuis plus de 20 ans :   – BTS MCO Management des Unités Commerciales,  – BTS Négociation et Digitalisation de la Relation Client,  – BTS comptabilité gestion,  – BTS professions immobilières,  – BTS support à l’action managériale,  – Plusieurs bachelors (Bac+3) en comptabilité – gestion (DCG), marketing digital et RH.

L’équipe offre un accompagnement individualisé pour aider les jeunes à construire leur parcours professionnel, avec des promotions de 15 à 20 alternants et l’intervention d’experts de qualité. L’école met un point d’honneur à suivre ses étudiants dans leurs recherches d’entreprise, la condition sine qua none pour assurer leur réussite professionnelle.  Afin de placer les jeunes en entreprise, l’ESMC se veut très active en nouant des partenariats avec les acteurs économiques du territoire.

Dans le cadre de cette démarche, l’école organise un job dating : le mardi 9 juillet de 8h30 à 12h00 au 12, Chaussée Jules César – Bât le César à Osny  

L’événement est soutenu par le MEDEF 95, les réseaux d’entreprise du territoire (Club ACE et Dynamic 95), par l’agglomération de Cergy-Pontoise et le CESE 95 qui seront parties prenantes de l’événement.  

Si votre entreprise est actuellement dans une démarche de recrutement, venez rencontrer en direct les profils correspondant à vos attentes et prendre contact avec des jeunes de qualité, formés dans un souci d’exigence. En amont, les étudiants sont préparés par les équipes pour aborder avec une posture professionnelle la relation avec l’entreprise : refonte du CV, simulation d’entretien individuel afin de développer l’aisance, le discours, la tenue… Nous comptons sur votre participation !

Merci de nous confirmer votre présence au 06 10 25 42 23 – vpaviot@mfpromotion.fr

* L’aide à l’embauche d’un alternant (d’un montant de 6000 €) est prolongée pour les contrats signés jusqu’au 31 décembre 2024.

 

Petit lexique des formations proposées :  

BTS MCO : Vente et conseil client (magasins, supermarchés, restaurants…)

BTS NDRC : Prospection et digital (entreprises de service, promoteurs immobiliers, restauration (pour la partie création flyers site web…. et prospection des pro), concessionnaires de voiture, vente de matériels de sécurité…

BTS Comptabilité et gestion administrative : toute entreprise qui a besoin d’aide comptable ou administrative

BTS Profession immobilière : agents immobiliers, entreprises de syndic, gestion de copropriété, entreprises de construction et de vente, bailleurs sociaux…

BTS SAM assistante de gestion/de direction : réalisation de plannings, dossiers administratifs, aide en RH et projet…

BTS ESF Economie sociale et familiale : association, établissements de santé (EPAHD), collectivités….

Bachelor Marketing Digital : Les étudiants sont amenés à gérer des projets E-commerce (stratégie marketing, webmarketing, création et gestion des sites web, référencement, communication sur les réseaux…)

Bachelor RH : Recrutement et administration RH  DCG : Gestion comptable, contrôleur de gestion…

Les premiers habitats écologiques DEMREA sortiront de terre dans le Val d’Oise

Les premiers habitats écologiques DEMREA sortiront de terre dans le Val d’Oise

DEMREA se fait une place sur le marché de l’habitat écologique avec de premières opérations dans le Val d’Oise ! Son système constructif breveté séduit les promoteurs immobiliers avec le lancement prévu de plusieurs programmes notamment dans le Val d’Oise. Mardi 25 juin, à l’occasion des Assises nationales du Logement et de l’Habitat, à la Cité Internationale Universitaire de Paris, la jeune entreprise a signé une convention de partenariat avec plusieurs promoteurs et un représentant de l’association ConstruirAcier. Ces derniers s’engagent à utiliser les panneaux DEMREA dans la réalisation de leurs futurs projets en lle-de-France (logements individuels et collectifs), convaincus de l’intérêt de ce procédé innovant. Les premiers projets ciblés sont envisagés à Louvres, et à Persan, pour des logements individuels et collectifs, ainsi que sur Paris et le Mesnil-le-Roi.

Les matériaux biosourcés et en acier recyclé reposent sur un système d’assemblage unique de panneaux livrés en kit permettant une complète modularité et une grande rapidité de montage in situ. Une très belle opportunité qui a permis de rencontrer de nombreux prescripteurs et donneurs d’ordre tout au long de la journée.

DEMREA France et son système constructif breveté qui décarbone l’habitat, a signé sa première convention de partenariat avec des promoteurs immobiliers. La société DEMREA France commercialise un système constructif innovant en matériaux biosourcés et acier recyclé qui permet d’ériger rapidement des constructions bas-carbone, à la fois démontables et remontables, sans générer de déchet et sans bétonniser les sols.

Il peut être utilisé dans la construction de différents types de bâtiments (usages et superficies variés), en conformité avec le Plan Local d’Urbanisme (PLU) imposé par les communes et répond notamment aux besoins de l’habitat individuel et collectif et se positionne comme une alternative écologique aux matériaux de façades et planchers traditionnels. Le système constructif DEMREA regorge d’atouts pour décarboner l’immobilier ! Hors fondation, ce système de connexion breveté permet de monter, démonter et remonter un bâtiment de plain-pied de 70 m² en moins d’une semaine.

Construits à partir de matériaux biosourcés (panneaux en bois issus de forêts françaises, chanvre, lin et coton pour la laine isolante) et d’acier recyclé, les panneaux de structure améliorent le bilan carbone de tous les projets immobiliers. Exit les matériaux qui génèrent énormément de CO2 en phase de fabrication (béton ciment, aluminium…) !

Toute la préfabrication est faite en usine (hors site) pour bénéficier du contrôle de la qualité industrielle, supprimer les déchets en phase de chantier et réduire les nuisances pour le voisinage. Les fondations amovibles utilisées (pieux vissés) n’artificialisent pas définitivement les sols, ce qui offre davantage de flexibilité dans la gestion des parcelles aux collectivités et autres propriétaires terriens. Les éléments légers et manuportables du kit DEMREA peuvent être acheminés partout.

L’indice carbone « énergie » et l’indice carbone « construction », analysés dans le cadre de la RE2020, offrent des résultats meilleurs que ceux fixés par la réglementation en 2031 pour les bâtiments neufs. Comment ? Ce système constructif innovant peut être adopté par tous les architectes, tous les promoteurs et tous les maîtres d’ouvrage soucieux de l’empreinte environnementale de leur projet. Quant aux particuliers qui le souhaitent, ils sont mis en relation avec des charpentiers métalliques proches de chez eux pour le montage du kit sur leur terrain. Les bâtiments peuvent être ensuite autonomes ou reliés aux réseaux classiques (eau potable, électricité, Internet…).

Les ventes en BtoB sont confiées à des commerciaux prescripteurs en lien avec les architectes, bureaux d’études, responsables de développement, chargés de projet, promoteurs et bailleurs sociaux. Les ventes en BtoC se font par le biais de demandes de devis, à compléter directement sur le site web de DEMREA.

Pour quels usages ? DEMREA apporte des réponses à des besoins multiples : Réalisation d’écoquartiers en horizontal et vertical pour logements sociaux, lotissements privés, résidences seniors et mixtes, hôtellerie de plein air et habitats légers de loisirs… ; habitats d’urgence provisoires en horizontal et vertical, disponibles très rapidement et économiquement accessibles, face au mal logement et aux catastrophes naturelles ; bâtiments publics temporaires ou pérennes (crèches, écoles, salles polyvalentes, locaux associatifs, commerces, ateliers…) ; entreprises devant loger des travailleurs temporaires ou saisonniers ; studios de jardin et extensions de maisons écologiques et design, pour tous les terrains.

Ces entreprises qui militent pour éviter les restrictions aériennes

Ces entreprises qui militent pour éviter les restrictions aériennes

Préoccupées par de possibles limitations quant aux vols de nuit à Roissy, les entreprises ne cachent pas leur inquiétude sur le sujet et se mobilisent face à des associations de riverains actives pour réduire le trafic aérien. Mandaté par le gouvernement, le Préfet du Val d’Oise est chargé de délivrer un rapport d’ici l’été afin d’étudier d’éventuelles restrictions d’exploitation notamment concernant les vols de nuit. Les entreprises sont sorties du bois ces dernières semaines pour faire entendre leur voix : MEDEF95, CPME 95, CCI 95, Roissy Dev, Club des Acteurs du Grand Roissy… tous tirent la sonnette d’alarme quant à l’impact économique que pourraient engendrer de telles décisions. La semaine passée, c’est le groupe ESI à travers son dirigeant Amaury Chaumet qui a exprimé ses inquiétudes à l’occasion d’une visite d’élus.

Les entreprises interpellent le préfet, souhaitent le maintien des créneaux de vols actuels et militent pour un dialogue constructif afin de ne pas pénaliser les milliers de salariés sur la plateforme. Celle-ci génère près de 210 000 emplois équivalents temps plein, avec la présence d’acteurs majeurs tels que Fedex dont le hub compte 4000 salariés et quatre fois plus d’embauches indirectes.

« Avant d’en arriver à des décisions aussi drastiques, d’autres mesures sont possibles, souligne Laurent Pillard, président de la CPME 95 : éco-pilotage, soutien au renouvellement des flottes, sanctions plus drastiques pour les vols qui ne seraient pas dans le schéma d’exploitation classique, aide à l’insonorisation proposée par ADP, solutions acoustiques… » Comme évoqué par Dominique Restino, président de la CCI Ile-de-France, « des solutions innovantes et équilibrées peuvent être trouvées pour aller vers une convergence mutuelle, faire cohabiter qualité de vie et attractivité, sans impacter le monde économique, au risque de voir le business se faire ailleurs. Le trafic aérien irrigue énormément d’entreprises et sous-traitants, les enjeux sont cruciaux. »

Les entreprises aux alentours redoutent la proposition de loi portée par des parlementaires du Val-d’Oise demandant l’instauration d’un plafonnement annuel du nombre de vols. C’est dans ce contexte que les élus locaux ont rendu visite au groupe ESI à Louvres ce 28 mai pour évoquer ses conséquences significatives. “Nous avons décidé, il y a trois ans, de nous implanter ici justement pour notre proximité avec l’aéroport, relève Amaury Chaumet, président de l’entreprise. Le transport, c’est le cœur de notre activité.”.

Le groupe ESI (400 personnes) en témoigne dans les colonnes du journal « la semaine de l’Ile de France ». L’entreprise est spécialisée dans le transport logistique d’œuvres d’arts, pour les musées, les collectionneurs, mais aussi dans le cadre du secteur évènementiel (salons, congrès…). Elle intervient également lors de déménagements et en lien avec les activités militaires. “Nous travaillons souvent dans l’urgence, c’est du « one shot » avec très peu d’anticipation”, précise le président. Alors, moins d’avions et un arrêt total des vols la nuit contraindrait l’entreprise exportatrice, allongeant ses délais. Nous avons besoin de flexibilité et de réactivité.”

Si la loi venait à passer, le groupe ESI imagine se diriger vers d’autres aéroports proches en Europe. C’est, pour l’entreprise, la seule solution efficace afin de maintenir son activité avec les mêmes garanties vis-à-vis de ses clients. “Cette situation serait moins vertueuse, car elle engendrerait un transport par camion, avec davantage d’émission de dioxyde de carbone”, prévient Amaury Chaumet, pourtant très soucieux de l’impact environnemental de sa société.

Pour en savoir plus : https://www.contact-entreprises.net/wp-content/uploads/2024/05/Contact188-V2.pdf

accueil, logistique et transport expositions et salons