La Gazette : 2500 numéros à son actif

La Gazette : 2500 numéros à son actif

Un clin d’œil dans cette newsletter sur nos confrères de la Gazette, hebdomadaire bientôt quinquagénaire. Héritière d’une longue histoire, La Gazette du Val d’Oise vient de fêter son 2 500e numéro. Proche de ses lecteurs, à l’écoute de leurs préoccupations, fidèle reflet de l’actualité locale, La Gazette offre chaque semaine une vision aussi exhaustive et précise que possible de l’actualité du Val-d’Oise.

De la politique aux faits divers, des sports à la culture, en passant par la vie locale, les sept journalistes de La Gazette n’ont d’autre ambition que de trouver, de vérifier et de mettre en forme l’information du quotidien. Petits ou grands événements, tous méritent la même attention, le même souci permanent de vérification, de mise en perspective, d’explication. Malgré les difficultés rencontrées par la presse ces dernières années, La Gazette poursuit sa route avec cette même volonté de partager sa seule passion : raconter la vie du Val-d’Oise et de ses habitants.

La Gazette a publié un numéro spécial à cette occasion : du blocage des agriculteurs sur l’A15 à la manifestation de parents d’élèves à la suite d’une fermeture de classe à Vigny, en passant par le classement des villes où il fait bon vivre, la colère de communes contre la Région pour une histoire d’urbanisme, des chantiers et des projets en cours à Cergy, Herblay-sur- Seine ou encore Conflans, des festivals à venir…

« Mais comment les pages du journal se remplissent-elles chaque semaine ? interpelle la rédaction. Une question qui nous est souvent posée. Pas toutes seules ! Dénicher, traiter dans le respect des règles professionnelles les informations ne s’improvise pas. La Gazette est le résultat d’un travail d’équipe. Il y a d’abord vous, nos lecteurs. Vous n’imaginez pas à quel point nos contacts avec vous, vos suggestions, vos alertes sur la survenance de tel ou tel événement nous sont précieux. Vos appels, vos e-mails, vos communiqués constituent une partie de la matière de base de La Gazette. Toutes ces informations qui remontent du terrain sont systématiquement prises en main par un des journalistes de la rédaction en fonction du secteur géographique d’où elles émanent, ou de la rubrique dont elles relèvent. Là, un seul maître-mot : vérifier, encore et toujours l’information. La « recouper », dans notre jargon. Et donc douter systématiquement, mais sereinement et sans a priori, de tout. »

Tous les journalistes de La Gazette habitant l’aire géographique de diffusion du journal, chacun possède une connaissance aiguë du territoire ou de la rubrique dont il s’occupe. Ils s’appuient sur un réseau de correspondants de presse qui, au plus près du terrain, avec passion, se font l’écho de la vie locale. Un solide carnet d’adresses, et une bonne dose de curiosité sont également essentiels pour chercher avec obstination les sujets qui peuvent vous intéresser.

Des rendez-vous sur le terrain, des interviews, des conversations téléphoniques, des recherches, des photos… Avant-dernière étape : l’écriture. Il s’agit alors d’ordonner, de hiérarchiser, de choisir, de rendre intelligible, sans caricaturer, chaque information en lui donnant l’espace et la place qui lui revient au regard des autres. Ici, l’expérience et par-dessus tout l’honnêteté et la rigueur sont essentielles.

Leurs articles, les journalistes les mettent en page dans leurs rubriques respectives : faits divers, pages départementales, pages locales, sports, loisirs… Il s’agit également de caler les publicités vendues par l’équipe commerciale auprès des commerçants, des entreprises ou des acteurs du département.

Le journal achevé en rédaction, il est enfin prêt à être imprimé afin que tous les mercredis, les lecteurs puissent prendre en main La Gazette afin de découvrir les informations près de chez eux alors que l’équipe de journalistes retourne plancher sur le numéro suivant.

Contact Entreprises : la volonté d’être encore plus visible

Contact Entreprises : la volonté d’être encore plus visible

Nouvelle année, nouveaux projets. La soirée des 30 ans du magazine Contact Entreprises nous a confortées dans l’envie de poursuivre l’aventure et de développer plus encore la notoriété du journal. Cette volonté d’accroitre la visibilité du magazine passe par un réseau de diffusion élargi afin que vous soyez toujours plus nombreux à le recevoir dans vos boîtes aux lettres tous les deux mois. Le numérique et les réseaux sociaux contribuent déjà largement à ouvrir le champ du lectorat, mais la version papier reste un support très apprécié.

En ce début 2014, nous avons souhaité mettre à l’honneur la formation, dopée par la volonté de rapprochement entre les écoles et les entreprises, notamment pour les filières professionnelles. A lire également le portrait de l’actuel bâtonnier du Val d’Oise, Stéphane Alaimo et à découvrir, l’aventure entrepreneuriale de ProPeintures 95, dirigée par Vincent Couteau. Sans oublier un mot tout particulier à l’attention de Frédéric Anfray, souvent présent dans nos colonnes, qui vient d’être élu à la tête du Medef95.

Voici le dernier numéro en téléchargement : https://www.contact-entreprises.net/wp-content/uploads/2024/02/Contact186.pdf

Afin de développer la diffusion du journal, plusieurs partenaires vont nous accompagner, notamment la société MiPi (ex Midi Pile), dirigée par Yasmine Yamarene. Cette entrepreneuse dynamique propose une offre de livraison plus durable et plus écologique en se spécialisant dans le dernier kilomètre décarboné. Elle vient de lancer ses premières livraisons en vélo-cargo à Cergy. Dans le cadre d’un rapprochement avec sa dirigeante, Contact Entreprises sera distribué plus largement dans les parcs d’activité du Val d’Oise grâce à Midi Pile. Nous espérons que vous lui réserverez le meilleur accueil possible.

Autre soutien précieux pour la distribution du journal, celui de Thomas Hache, dirigeant de eBUROTIC et membre du BNI Hermès, spécialisé dans la vente de matériel d’impression et informatique. L’entreprise propose également des solutions permettant la dématérialisation des factures ainsi que l’envoi des courriers. Dans le cadre de sa démarche commerciale, Thomas a souhaité apporter sa contribution et diffusera dès qu’il le peut le magazine sur l’agglomération. Ce coup de pouce offrira par la même occasion davantage de visibilité à nos annonceurs.

Pommier inaugure son nouveau site 

Pommier inaugure son nouveau site 

La société POMMIER a inauguré ses nouveaux locaux à Beauchamp le 19 janvier dernier en conviant de nombreux partenaires et personnalités officielles. L’occasion de fêter collectivement ce bel événement à l’invitation de son dirigeant Jean-Patrick Sauvy.

Pommier est une société indépendante, créée en 1945, spécialisée dans la conception, la fabrication et la distribution d’accessoires et d’équipements pour la carrosserie industrielle (attelages, protections, fixations, éclairages et ouvrants) à destination des carrossiers, constructeurs de camions et constructeurs de véhicules spécifiques de défense. L’entreprise, qui emploie plus de 300 salariés, dispose de 4 usines. Son siège social et son centre de distribution international étaient antérieurement installés à Saint-Ouen l’Aumône permettant de servir ses 10 000 clients dans 30 pays. La société a intégré un nouveau bâtiment clés en mains de 12 000 m2 développé par le Groupe Vectura, lui permettant de disposer de locaux parfaitement adaptés pour ses activités tertiaires et commerciales, de recherche et de conception et de distribution internationale.  

www.pommier.eu 

  

 

La Région Ile-de-France vote un dispositif inédit pour la transmission des exploitations et l’installation

La Région Ile-de-France vote un dispositif inédit pour la transmission des exploitations et l’installation

Une décision qui tombe à point nommé dans ce contexte de contestation du monde agricole : la Région Ile-de-France vient d’adopter un nouveau dispositif pour la transmission des exploitations et l’installation des agriculteurs : l’aide Cédant /Repreneur qui permet de rémunérer les agriculteurs proches de la retraite qui transmettent leur exploitation à un jeune et acceptent de l’accompagner pendant deux à cinq ans grâce à une aide forfaire de 30 000 euros.

Avec plus de 4 425 exploitations (47% du territoire), l’Île-de-France est une grande terre agricole. L’agriculture en Île-de-France est incarnée par des hommes et des femmes de passion, qui savent à la fois rivaliser avec les plus grands concurrents sur les marchés mondiaux et produire des produits de qualité aux 12 millions de consommateurs dont ils sont les voisins. Depuis 8 ans, la Région Île-de-France est à leurs côtés : en 2016 après les inondations, la Région a répondu à l’appel de 3000 agriculteurs, après la sécheresse de 2020, ce sont 1400 agriculteurs qui ont été aidés et enfin une centaine touchée par la grêle, la jaunisse ou la crise du bio. En tout, ce sont 10 millions d’euros mobilisés en aides d’urgence par la Région.

Mais la réponse aux défis que rencontrent les agriculteurs ne se résout pas à des aides d’urgence. Il est nécessaire de redonner confiance, de défendre et de développer de façon pérenne l’agriculture française et francilienne. Avec le Pacte Rural et le Pacte Agricole, la Région a mis en place une stratégie qui réunit enfin la ville et les territoires ruraux, car leur économie et leur environnement sont dépendants l’un de l’autre. Cette stratégie a permis de multiplier par 3 le budget annuel dédié à l’agriculture, d’investir dans la modernisation des exploitations pour les aider à ramener plus de valeur ajoutée à la ferme par la diversification et la maîtrise de la transformation et du stockage : au total, la Région Ile-de-France a aidé 3 000 projets d’investissements.

Si elle constitue une grande richesse économique, l’agriculture francilienne est aussi un acteur indispensable à l’équilibre territorial et environnemental de l’Île-de-France. D’importantes actions sont ainsi menées : encourager le développement des énergies renouvelables – via la méthanisation et le biogaz, la préservation de la biodiversité, encourager la filière des matériaux et produits biosourcés pour un urbanisme durable etc. Avec le Pacte agricole la Région Île-de-France a rattrapé le retard de l’Île-de-France en multipliant par près de 4 les surfaces dédiées au BIO, et par 3 le nombre d’exploitations engagées.

Mais cette adaptation va nécessairement de pair avec un plan pour réduire la vulnérabilité du système alimentaire et agricole francilien grâce à l’innovation (soutien au monde de la recherche et coordination avec les partenaires agricoles et alimentaires afin d’assurer leur adoption sur le territoire) et la sensibilisation des franciliens aux produits locaux.

C’est aussi avec le Pacte Agricole que la Région a créé en en 2018 la marque « Produit en Ile-de-France » pour incarner l’identité alimentaire francilienne et valoriser la qualité de nos productions de proximité : elle compte déjà 5000 produits référencés. Enfin, il permet à la Région d’accompagner l’association « les agriculteurs d’Ile-de-France » pour mieux faire connaître le métier et donner envie aux jeunes franciliens en quête de sens d’y consacrer leur vie. En 10 ans l’Île-de-France a perdu 12% de ses fermes et la moitié des agriculteurs partiront à la retraite dans les dix années qui viennent. Assurer la relève est un enjeu vital.

C’est dans cette logique que la Région Île-de-France a décidé d’accroitre sa mobilisation pour la transmission des exploitations et l’installation. Avec le doublement de la dotation aux Jeunes Agriculteurs (qui passe de 12 000 à 22 000 euros), l’aide Cédant/Repreneur complète ainsi l’arsenal des aides au renouvellement des génération en créant cette aide au cédant qui, à sa retraite, fait le choix de transmettre son exploitation à un jeune et accompagne son installation.

Ainsi, sur l’ensemble de ces priorités, la Région Ile-de-France accompagne ses agriculteurs dans la durée. Pour rappel, la Région Île-de-France a intégré préservation du foncier agricole au cœur de la révision du schéma d’aménagement écologique de l’Ile-de-France (SDRIFE) à l’horizon 2040.

Les maisons DEMREA disponibles en pré-commande au salon EnerJ ce 6 février, au Carrousel du Louvre

Les maisons DEMREA disponibles en pré-commande au salon EnerJ ce 6 février, au Carrousel du Louvre

Écologique, modulable, en auto-construction : la maison made in France de DEMREA devient pleinement réalité. La campagne de précommandes sera officiellement lancée fin janvier 2024 et s’étalera sur quatre mois. Les 100 premiers clients pourront bénéficier d’une réduction de 100€ par m², avec la garantie d’être livrés en priorité dès le lancement de la production, qui interviendra avant la fin du premier semestre. Pour faire de cette campagne un succès et renforcer la communication autour du développement de l’entreprise, en pleine levée de fonds, DEMREA participe en tant qu’exposant au salon EnerJ. Cette journée de l’efficacité énergétique et environnementale du bâtiment se déroulera au Carrousel du Louvre, à Paris, le 6 février 2024. Une étape majeure pour cette jeune start-up qui apporte enfin une alternative aux modes de construction traditionnels et des solutions concrètes à la crise sociale et environnementale du logement.

L’heure du déploiement

Ces maisons nouvelle génération, livrées en kit, s’apprêtent à révolutionner l’habitat de demain grâce à un brevet unique portant sur le système d’assemblage. Les pièces de connexion et éléments manuportables permettent de construire un logement équipé en 3 à 5 jours, sans moyens de levage (convoi exceptionnel, camion-grue…) ni compétences spécifiques dans le domaine du bâtiment.

Après plusieurs années de recherche et développement, les premiers prototypes permettant de tester grandeur réelle les panneaux et pièces d’assemblages métalliques ont passé avec succès les agréments et répondent à toutes les normes techniques requises. Grâce à ces éléments, les maisons DEMREA peuvent se monter et se démonter entièrement. Elles peuvent aussi s’agrandir au gré des besoins avec l’ajout de pièces supplémentaires, sans opération de démolition ou remaniement de la structure principale.

Les différents partenaires industriels, tous situés en France, sont prêts pour démarrer la fabrication en série afin de déployer le concept à plus grande échelle. Pour accompagner son projet, Demrea a suscité l’intérêt de plusieurs investisseurs : des levées de fonds sont en cours de négociation pour initier un premier tour de table qui permettra de lancer très rapidement la production en usine.

Dans ce contexte, le constructeur lance les premières pré-commandes de ses modules (35, 53 ou 70 m2), avec de multiples options de personnalisation : auvent de terrasse, toiture végétalisée, panneaux photovoltaïques, toilettes sèches, station de traitement des eaux grises avec bâche à eau pour réservoir d’eau domestique….

Un habitat innovant

Alors que la plupart des constructions actuelles nécessitent du matériel de levage lourd, réservé aux spécialistes du bâtiment, les maisons DEMREA sont intégralement réalisables à la main, sans gros outillage ni expertise particulière. Ce concept ingénieux s’appuie sur un brevet français qui porte sur les pièces d’assemblage métalliques à fixer sur une ossature en acier galvanisé et bois, avec une isolation en chanvre. Le système permet aux panneaux composant les parois, le plancher et la toiture de la maison de s’emboîter et de se clipser comme des légos, pour un montage en quelques jours seulement. Les éléments, pré-fabriqués en atelier, sont tous manuportables (de 25 à 45 kg par panneau).

Construits à partir de matériaux biosourcés et recyclés, les panneaux de bois sont issus de forêts françaises. Exit les matériaux qui génèrent énormément de CO 2 en phase de fabrication (béton ciment, aluminium…) ! De plus, les chantiers des maisons ne génèrent aucun déchet ni en construction ni en déconstruction.

Ne nécessitant pas de fondations profondes (pose en hors sol), DEMREA se démarque en proposant des maisons à monter sur le lieu même de la construction par le client (ou par un constructeur agréé). Contrairement aux maisons assemblées hors-site, ce parti pris technique permet de réduire les coûts et les émissions de CO2 liées au transport, mais aussi les défauts et les retards.Tous les terrains, même les plus reculés, deviennent ainsi accessibles pour une livraison rapide. Les avantages des maisons DEMREA sont multiples : écoresponsabilité, auto-construction, rapidité, mobilité, simplicité, design, solidité, sécurité, modularité…

Pour qui ?

DEMREA apporte des réponses à des besoins multiples :

  • Alternative à la maison traditionnelle (habitat principal, secondaire, extension de maison), comme à l’habitat léger de loisirs (campings, villages vacances, résidences d’été…) ;
  • Réalisation d’éco-quartiers en horizontal pour logements sociaux, privés, seniors, mixtes, associations ;
  • Habitats d’urgence provisoires en horizontal disponibles très rapidement et économiquement accessibles pour les personnes mal logées, les sinistrés de catastrophes naturelles…
  • Bâtiments publics temporaires (crèches, écoles…).
  • Entreprises devant loger des travailleurs temporaires ou saisonniers.

En conformité avec les différentes réglementations en vigueur relatives à la solidité du bâti, à l’environnement (RE2020), à la sécurité des personnes et au bien-être de l’habitant, les maisons DEMREA proposent un volume architectural et esthétique qualitatif qui s’intègre parfaitement dans le paysage.

A propos :

DEMREA Holding est domiciliée à Paris et DEMREA France à Châteauroux, à la Cité du Numérique. Désireux de faire émerger des alternatives, Issa DIA, Pascal TOMASI, Hicham ZABILI et Thomas BASTIN, co-fondateurs, ont regroupé leurs compétences dans le domaine du bâtiment et du développement d’entreprises pour donner vie à ce projet commun.

 

Dictée des Boss : quand langue française rime avec entrepreneuriat 

Dictée des Boss : quand langue française rime avec entrepreneuriat 

À l’initiative de Pierre KUCHLY, président de la chambre de commerce et d’industrie du Val-d’Oise et en partenariat avec la Ville d’Argenteuil, la première édition de la dictée des Boss se tiendra le 8 février 2024. Portée par Abdellah Boudour depuis 2013, cet événement permet à tous de se retrouver autour d’un exercice de lettres. C’est bien plus qu’une simple dictée, c’est la plus belle façon d’être ensemble ! Et la formule fonctionne : partie d’Argenteuil il y a près de dix ans, la grande dictée pour tous se décline aujourd’hui au niveau national avec le championnat de dictées géantes en collaboration avec les municipalités, les associations et les établissements scolaires.

Le but est de fédérer autour du patrimoine linguistique, de créer l’émulation et stimuler les échanges. Il s’agit là de valeurs chères à Pierre Kuchly, président de la chambre de commerce et d’industrie du Val-d’Oise puisqu’elles sont l’essence du label #madein95, le réseau des chefs d’entreprises du Val-d’Oise. « Lancer une dictée des Boss était une évidence ! »

Proposée gratuitement à tous les chefs d’entreprises du département, quelles que soient leur filière ou leur structure juridique, elle se tiendra le jeudi 8 février 2024 à 17h30, à la salle des fêtes Atrium, Route de Cormeilles à Argenteuil. C’est Alexia Borg, présentatrice TV & Radio qui a accepté d’en être la lectrice et les gagnants seront conviés à la grande finale nationale de la dictée pour tous.

Modalités pratiques :

Inscriptions obligatoires : https://bit.ly/3TRM3qB ou en cliquant sur le Qrcode en haut à droite
jeudi 8 février 2024 à 17h30, à la salle des fêtes Atrium, Route de Cormeilles à Argenteuil